Le Green computing: Les enjeux écologiques, une responsabilité collective

Le green computing


Si auparavant personne ne se souciait de l’impact des actions de l’homme sur la nature, désormais, le moindre geste est remis en cause. Et tous cela, dans le but de promouvoir ce qu’on appelle « développement durable ». Les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont l’un des secteurs les plus polluants de la planète.

Selon Wikipédia, les déchets créés au niveau mondial par ce secteur atteignaient les cinquante millions de tonnes en 2010, avec une estimation d’augmentation de cinquante pour cent en 2014. En plus de cela, les TIC sont aussi des gros consommateurs d’énergie, en France par exemple, elles accaparent à elles seules près de 13,5 % de la consommation d’électricité.

Devant ces chiffres, on arrive à se demander quid de l’avenir de cette planète si aucune action n’est pas rapidement mise en place. Pour cela, ce que nous appelons « green computing » est devenu un choix incontestable pour garantir la bonne gestion des ressources et de préserver aux mieux notre précieux monde.

Le green computing, les enjeux écologiques : une responsabilité collective

Green computing

Qu’est-ce qu’on entend par green computing ?

Le green computing vise à diminuer les externalités négatives générées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), il concerne aussi la réduction des énergies utilisées pour la construction, l’utilisation et la destruction de ces TIC. Ainsi, le green computing permet d’économiser de l’énergie et des matières premières. De ce fait, il est aussi favorable pour les hommes que pour la nature.

Les efforts nécessaires pour promouvoir le green computing

Pour promouvoir le green computing, les constructeurs doivent faire l’effort d’allonger aux maximums la durée de vie des équipements informatiques. Cela permet en même temps d’amortir la quantité d’énergie nécessaire à la fabrication et à la destruction de ces matériaux. Les nuisances engendrées par la fabrication et par la fin de vie de ces matériaux seront ainsi réduites.

Chez les utilisateurs, les logiciels de mise en veille automatique permettent considérablement la réduction des gaspillages inutiles d’énergie, et économie d’énergie dit économie d’argent. Il faut aussi utiliser de façon optimale les capacités installées sur les serveurs, la virtualisation de serveurs permet d’atteindre cet objectif. Par exemple de très gros sites comme Google, Facebook, Wikipedia et de façon plus anecdotique Chatroulette se sont engagés à diminuer leur consommation d’énergie dès 2013.

Combien donneriez-vous pour ne prendre aucun risque et éliminer la dépendance énergétique ?

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